Weekend de folie... ou presque !
Vendredi soir, je gardais mon petit frère. En tant que grande soeur responsable, j'en ai profité pour rester 1h40 au téléphone avec Am.
J'ai donc failli mettre le feu à la maison en faisant brûler de l'huile, j'ai renversé un pot de fleur en voulant redresser une lampe qu'un chat avait fait tomber, et j'ai du gérer la catastrophe d'un petit garçon qui ne sait pas encore viser quand il va aux toilettes...
Autant vous dire qu'Am. a trouvé ça très amusant.
Heureusement, j'ai réussi à faire manger mon frère sans y passer trois heures, j'étais fière de moi (il a même bu toute sa soupe !)
Samedi, comme les vêtements que j'avais apporté étaient un peu courts, je suis allée faire du shopping avec ma mère. Bon, dans ma ville natale, c'est vite fait, il n'y a qu'un seul magasin de potable. J'ai donc trouvé une mini jupe portable, mais le soir venu, j'ai décidé de garder ma micro jupe. Avec ma tunique à carreau et mes bottes, j'avais l'air d'une vraie parisienne. Pas sûre que ce soit vraiment une bonne chose, mais le but du jeu était surtout de faire comprendre à Bruno que j'étais très court vétûe alors qu'il était à des kilomètres de là.
La soirée s'est plutôt bien passée, j'étais contente de voir ma petite puce et un jeune homme que je n'avais pas vu depuis un moment. Seulement, j'aurais préféré ne pas payer 7€20 mes deux kirs (pour le coup, on se serait cru à Paris), et surtout, j'aurais aimé ne pas me retrouver dans une ambiance bof à souhait, avec des gens qui chantent pendant 5min "c'est à babord qu'on gueule...", ou encore, une chanson dont j'ignorais, en innocente heuseuse, l'existence dont les paroles sont à peu près seulement : "la boîte à caca".
Oui, grosse, très grosse ambiance dans ma ville natale.
Ensuite, avec Ptitepomme, nous avons décidé d'aller rapidement boire un verre dans notre bar fétiche... qui était vide. Nous sommes tombées sur notre ancien barman (elle est bien loin l'époque où il nous offrait des kirs... sniff), un peu saoul, mais toujours aussi sexy.
Enfin, sur le chemin du retour, nous nous sommes d'abord fait alpaguée par les militaires du premier bar où nous étions, qui voulaient nous emmener en boîte. Apparement, ils ne savent pas encore que la chanson "la boîte à caca", c'est un peu la chanson anti drague par excellence.
Ensuite, deux hommes très saouls se sont mis à nous parler en anglais, pardon, se sont mis à bredouiller des mots en anglais, juste pour nous faire une blague. Ah ah ah, on en rigole encore !
Tout ça pour dire que, la prochaine contre soirée, on ne l'a fera pas à Roch., parce que quand même, ça devient un peu craignos !
Mais heureusement, ma ptitepomme est la meilleure camarade de contre soirée qui existe sur terre !
J'ai donc failli mettre le feu à la maison en faisant brûler de l'huile, j'ai renversé un pot de fleur en voulant redresser une lampe qu'un chat avait fait tomber, et j'ai du gérer la catastrophe d'un petit garçon qui ne sait pas encore viser quand il va aux toilettes...
Autant vous dire qu'Am. a trouvé ça très amusant.
Heureusement, j'ai réussi à faire manger mon frère sans y passer trois heures, j'étais fière de moi (il a même bu toute sa soupe !)
Samedi, comme les vêtements que j'avais apporté étaient un peu courts, je suis allée faire du shopping avec ma mère. Bon, dans ma ville natale, c'est vite fait, il n'y a qu'un seul magasin de potable. J'ai donc trouvé une mini jupe portable, mais le soir venu, j'ai décidé de garder ma micro jupe. Avec ma tunique à carreau et mes bottes, j'avais l'air d'une vraie parisienne. Pas sûre que ce soit vraiment une bonne chose, mais le but du jeu était surtout de faire comprendre à Bruno que j'étais très court vétûe alors qu'il était à des kilomètres de là.
La soirée s'est plutôt bien passée, j'étais contente de voir ma petite puce et un jeune homme que je n'avais pas vu depuis un moment. Seulement, j'aurais préféré ne pas payer 7€20 mes deux kirs (pour le coup, on se serait cru à Paris), et surtout, j'aurais aimé ne pas me retrouver dans une ambiance bof à souhait, avec des gens qui chantent pendant 5min "c'est à babord qu'on gueule...", ou encore, une chanson dont j'ignorais, en innocente heuseuse, l'existence dont les paroles sont à peu près seulement : "la boîte à caca".
Oui, grosse, très grosse ambiance dans ma ville natale.
Ensuite, avec Ptitepomme, nous avons décidé d'aller rapidement boire un verre dans notre bar fétiche... qui était vide. Nous sommes tombées sur notre ancien barman (elle est bien loin l'époque où il nous offrait des kirs... sniff), un peu saoul, mais toujours aussi sexy.
Enfin, sur le chemin du retour, nous nous sommes d'abord fait alpaguée par les militaires du premier bar où nous étions, qui voulaient nous emmener en boîte. Apparement, ils ne savent pas encore que la chanson "la boîte à caca", c'est un peu la chanson anti drague par excellence.
Ensuite, deux hommes très saouls se sont mis à nous parler en anglais, pardon, se sont mis à bredouiller des mots en anglais, juste pour nous faire une blague. Ah ah ah, on en rigole encore !
Tout ça pour dire que, la prochaine contre soirée, on ne l'a fera pas à Roch., parce que quand même, ça devient un peu craignos !
Mais heureusement, ma ptitepomme est la meilleure camarade de contre soirée qui existe sur terre !