L’enquête – the international

Publié le par littlefrog

Synopsis :

 

Sous des dehors respectables, l'International Bank of Business and Credit est une multinationale de la finance spécialisée dans le blanchiment d'argent et le financement d'opérations illégales.

Face à elle, Louis Salinger, agent d'Interpol, et Eleanor Whitman, district attorney adjoint de Manhattan, sont déterminés à mettre fin à ses activités illicites. Ils sont prêts à tout pour que la justice règle son compte à cette organisation tentaculaire et intouchable, mais pour y parvenir, ils vont eux aussi devoir agir au-delà des lois...
D'un bout du monde à l'autre, contre tous les dangers, Eleanor et Louis se lancent dans une partie à haut risque dont ils ne maîtrisent pas les règles. Une chose est certaine : ce jeu dans lequel leur redoutable ennemi contrôle tout et tout le monde ne s'arrêtera que lorsque l'un des adversaires sera à terre...

 

 

Mon Avis :

 

Pfff… Par où dois-je commencer ?

Ce film est vraiment, vraiment totalement inintéressant. Je dirais même que cela fait longtemps que je n’ai pas vu un film si mauvais.

L’intrigue principale n’est pas à la hauteur de sa prétention. Voilà un film qui traite de la théorie du complot (qui n’est somme toute pas si absurde que ça), mais qui complique tout pour faire genre. On ne comprend rien, où du moins on est perdu dans la masse d’informations inutiles qu’on nous offre. Et pourquoi tant d’informations inutiles ? Parce que trop, trop, beaucoup trop de blabla et pas assez d’actions. J’ai d’ailleurs commencé par m’endormir au bout de 20 min (heureusement, quelqu’un se fait descendre, ça m’a réveillé et j’ai pu profiter du reste de ce mauvais film).

Enfin, Naomi Watts. Je ne l’ai pas vu dans assez de film pour réellement juger de ses talents d’actrice, mais entre ce film et King King, je me dis qu’elle est tout simplement l’actrice officielle des yeux larmoyants. Et son rôle ne sert à rien, du tout. Les scénaristes nous ont préservé de la scène d’amour torride entre elle et Clive Owen, c’est gentil, mais pour une fois ça m’aurait fait plaisir, ça aurait fait un peu d’action, voyez-vous.

Et la fin, la fin, est d’une nullité affligeante, qui prouve que les scénaristes se sont empêtrés dans leur idée de complot et que leur seule façon de conclure était de conclure en queue de poisson, au bout de deux heures de bla bla absolument inintéressant.

En bref, c’est nuuuuuuuuul !

Mais Bruno a à peu près apprécié, alors bon.

Publié dans cinéma

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