L’amant de Lady Chatterlay de David H. Lawrence.

Publié le par littlefrog



Histoire :


L’histoire est celle d’une jeune femme mariée, Constance, Lady Chatterley, dont le mari, propriétaire terrien, est devenu paralysé et sexuellement impuissant. Une vie monotone, un mari indifférent et la frustration sexuelle poussent Constance à entamer une liaison avec le garde-chasse, Oliver Mellors. Le roman est le récit de la rencontre de Lady Chatterley et d'Olivier Mellors, d'un difficile apprivoisement, d'un lent éveil à la sensualité pour elle, d'un long retour à la vie pour lui... ou comment l'amour ne fait qu'un avec l'expérience de la transformation. (Source : wikipédia, parce que je suis une grosse flemmarde qui n’aime pas résumé un roman en quelques lignes)


Mon Avis :

Voilà un livre hot, très hot ! Je comprends très bien maintenant pour quelles raisons ce roman a tellement fait scandale !

Mais au-delà de l’histoire d’amour, histoire sexuelle, de Lady Chatterlay et du garde chasse, c’est la société britannique qui est décrite et critiqué. Je pense que ce roman est truffée d’images symboliques très fortes, la forêt en particulier, symbole du monde sauvage et bestial, loin de la civilisation, où elle trouve le plaisir physique d’être un corps avant d’être un esprit.

J’ai en particulier dévoré ce roman lors de notre retour de Malte. Je n’ai pas pu m’empêcher de faire lire certains passages très hot à Bu qui, décidément, trouve que j’ai des lectures étranges. Je comprends parfaitement que ce roman ait pu être interdit durant 30 ans dans une Angleterre très puritaine. Je ne peux pas aller jusqu’à dire que certains passages m’ont choqué, mais je me suis dit « oh bah quand même, il y va fort là ! » et « Berk ! ». Oui, j’étais en mode vacances, alors ma réflexion n’allait pas beaucoup plus loin.

Je suis contente d’avoir lu ce fameux roman, mais entre nous, il ne m’a pas particulièrement bouleversé, et je trouve le personnage du garde chasse assez déplaisant ! Il n’a pas fait rêver la midinette qui est en moi (contrairement au fameux M. Darcy d’Orgueils et Préjugés ! ) ! Je me suis d’ailleurs davantage reconnue dans la sœur de Constance, Hilda (qui n’est pourtant pas très sympathique !), que dans l’héroïne, qui, je trouve, se laisse totalement dévorée par le garde chasse.




Publié dans littérature

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